Les (ré)créations de

Bruno Lecoq

Bruno Lecoq qui vit actuellement entre Paris et la Vienne (86), continue de créer au quotidien : travaux numériques, dessins, peintures, gravures et objets détournés sont ses moyens d’expression favoris.

De retour après de longues années de silence tout juste interrompu par la publication en 2019 d’une photo pleine page dans le magazine Tentation, Bruno Lecoq n’est jamais resté loin de l’espace atelier qui le suit partout depuis 1978. Cet espace, c’est avant tout son imaginaire qui s’exprime de mille et une façons mais qui toujours s’exprime. Une feuille blanche, des crayons, une photo, des ciseaux, des figurines, des pinceaux, des animaux en plastique, de la colle, une palette graphique… Chez lui tout est prétexte à la création. Et à la récréation tant l’humour n’est jamais loin de son travail. Une gravure triturée, un vieux portrait noir et blanc détourné, un même motif réinterprété des dizaines de fois, deux ou trois œuvres qui au final n’en font plus qu’une : l’artiste n’est jamais pris au dépourvu.

 

De nouvelles rencontres

C’est cette façon de regarder le monde qui l’entoure, de s’inviter dans des images pour en réécrire l’histoire originelle, de mettre de la fantaisie sur des objets anodins que Bruno Lecoq a décidé de partager à nouveau avec le public. Le format du site Internet était idéal pour ce retour qui parlera peut-être à celles et ceux qui depuis le début des années 1980 ont croisé son chemin. Et pour tous les autres qui arriveront ici par hasard, il ne reste qu’à souhaiter qu’il s’agisse d’un heureux hasard.

Le parcours artistique de

Bruno Lecoq

En 1994 alors qu’il n’a jamais cessé de peindre, il reprend le chemin des expositions avec un premier rendez-vous à la Galerie du Saint-Pétersbourg à Mougins (06). Il s’agit d’une exposition collective.
En 1995 il fait une première rencontre décisive avec Iléana Bouboulis, jeune galériste parisienne et fille de Sophia Vari, sculptrice et épouse de Fernando Botero.

Né le 1er août 1962 à Tours, Bruno Lecoq ouvre son premier atelier à Lyon, sur les quais du Rhône, en 1979. Il délaisse d’emblée les références académiques inculquées notamment lors de ses études en arts plastiques et histoire de l’art et se lance avec frénésie dans une longue période d’apprentissage avec un goût très prononcé pour l’expressionnisme, l’art africain, l’art brut et les hauts-reliefs. Ses premiers tableaux-sculptures sont remarqués par le poète Philippe Soupault, l’un des pères du surréalisme qui découvre le travail du jeune créateur chez son éditeur lyonnais Jacques Marie Laffont.

A l’invitation de la galerie Jean Charveriat, il expose ses sculptures (argiles drapées de tissus peints) la même année. L’artiste va ensuite marquer une première pause et multiplier les expérimentations.

Devenu journaliste pour satisfaire une inlassable curiosité, il crée en 1987 son propre magazine de gastronomie, Lecoq Gourmand.

Une première exposition parisienne lui est consacrée par la galerie Iléana Bouboulis en septembre 1996. « Papiers composés » marquera son parcours artistique avec des premières ventes et l’adoption d’un moyen d’expression qui l’accompagne encore parfois aujourd’hui, le collage.

En 1997, une autre belle rencontre artistique se fait avec le maître verrier Jean-Claude Novaro à Biot, galerie du Patrimoine. « Un face-à-face surprenant et stimulant » écrit Jean-Michel Ulmann dans les pages Culture de l’hebdomadaire Impact Médecin.

En 1998, Bruno Lecoq est de retour à Paris chez Iléana Bouboulis pour une exposition collective.

En 1999 il expose dans le Var à l’Hostellerie des Gorges de Pennafort

En 2000, il fait la rencontre du promoteur Guy Merlin qui décide de le soutenir en qualité de mécène. Ce qu’il fera généreusement pendant un peu plus de deux ans.

Cette même année en juillet 2000, Alain Agostini (Art World Gallery) offre une nouvelle grande exposition personnelle à Cannes, à deux pas de La Croisette. « Le bonheur est derrière la fenêtre » fera l’objet de nombreux articles de presse et reportages TV.

En 2001, à l’initiative de Patrick Scicard (président du directoire de Lenôtre), c’est le tout nouveau Café Lenôtre qui vient d’ouvrir rue d’Antibes à Cannes qui le reçoit en grand avec l’exposition « Jardins Secrets » qui dure tout l’été. Un nouveau succès, de nombreux articles, de nombreuses ventes. Les quelques tableaux qui resteront seront rachetés par un médiatique restaurateur tropézien qui en fait l’un des éléments phares du décor de sa table. A titre indicatif, le tableau le plus cher s’est vendu alors 12.000 FF, ce qui fait aujourd’hui 2.398 €.

2001, 2002, 2003

Bruno Lecoq occupe un atelier dans la rue Saint-Sauveur au Cannet : il y fera deux vernissages.
En juin 2002 il expose au Sofitel de Lyon.

En 2003 il expose au restaurant Le Provençal à Saint-Jean-Cap-Ferrat.

Fin 2003, sans doute était-ce écrit, l’artiste qui est resté journaliste se voit confier par Joël Garcia la rédaction du magazine Cimaise qui est à l’époque le plus ancien magazine d’art contemporain à être vendu en kiosques. Ces quelques années seront l’occasion de rencontres avec des artistes importants comme Jean-Michel Follon avec qui Bruno Lecoq aura une relation amicale suivie : l’artiste devenant le parrain d’un concours imaginé par Bruno Lecoq pour le Café Lenôtre à l’occasion de la fête des Mères : « Dessine-moi un gâteau ». C’est sur le magnifique yacht de l’artiste, « Over the Raimbow » en escale à Nice après avoir été restauré en Italie, que Bruno Lecoq commence à rêver de bateau… Un rêve qu’il réalisera bien plus tard en 2011 en achetant le Lady Jasmine, un gentleman motoryacht de 1936 à bord duquel il réside encore aujourd’hui lorsqu’il séjourne à Paris.

En 2004, il organise une exposition des sculptures de Philippe Berry à La Voile d’Or à Saint-Jean-Cap-Ferrat.
D’autres expositions suivront : Nathalie Decoster, Sofia Vari (pour ses sculptures bijoux).

En 2006, création avec un éditeur niçois du magazine d’art Contemporain(s). L’occasion encore de belles rencontres avec des artistes qu’il a le luxe de pouvoir choisir : Louis Cane, Philippe Berry, Gérard Titus-Carmel…

De 2007 à 2017

Durant ces dix années, Bruno Lecoq se consacre davantage à sa carrière de journaliste qu’à la création artistique même si cette dernière ne le quitte jamais : chez lui une pièce est systématiquement dédiée à cette activité. Dès qu’il le peut, il consacre des articles aux artistes qu’il apprécie.

Libre, son travail artistique fait appel à des moyens d’expression multiples : peinture acrylique, encre, photos et gravures détournées, collages, dessins… Des petites installations réalisées le plus souvent avec des jouets détournés et peints pour lesquels l’artiste imagine un scénario souvent surréaliste, poétique, humoristique et à double lecture. Photographiées, ses images sont ensuite retravaillées numériquement. Elles sont proposées sur ce site, soit en version originale (pièce unique), soit en édition numérotée (quinze exemplaires en général), signée et datée ou en encore en version rehaussée (donc unique), également signée et datée.

En 2017, Bruno Lecoq organise avec le chef Nicolas Conraux une exposition pour son ami Philippe Berry à L’Hôtel La Butte à Plouider dans le Finistère. Cette exposition qui rapproche encore un peu plus Bruno Lecoq de Philippe Berry est un vrai succès. « Jeux de Ballons » profite d’une belle couverture médiatique et de nombreuses œuvres sont vendues. Bruno Lecoq sera plus tard à l’origine de l’édition de trois lithographies de l’artiste.

De 2019 à aujourd’hui

En 2019, le magazine Tentation publie sur une pleine page une photo de l’artiste : « Rotterdam ».

Bruno Lecoq qui vit actuellement entre Paris et la Vienne (86) continue de créer au quotidien ou presque, pour le plaisir pur de la création.

UNE QUALITE DE PAPIER EXCEPTIONNELLE

Le tirage d’art (appelé aussi Fine Art) est une impression haut de gamme signée par l'artiste, numérotée et tirée en un nombre restreint d’exemplaires, au maximum 15.

Destinée à répondre aux exigences des musées, galeries et collectionneurs, l’impression d’art est réalisée sur un papier à pH neutre dit sans acide et fabriqué à base de fibre de coton, avec des encres de qualité « archives ».

Contrairement à un tirage classique qui, exposé en pleine lumière, jaunira après quelques années, un tirage d'art a une longévité exceptionnelle d'environ 100 ans. Ces tests de longévité sont opérés par des instituts spécialisés indépendants sur la combinaison des encres pigmentaires et des papiers d'art sélectionnés.

Les tirages sont imprimés sur différentes qualités de papiers achetés auprès de deux grands spécialistes du tirage d’art : Ilford et Hahnemuhle
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